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    Home»rubriques»Croissance et progrès»DES START-UPS NIGÉRIANES PÉNÈTRENT LE MARCHÉ DES JEUX VIDÉO
    Croissance et progrès

    DES START-UPS NIGÉRIANES PÉNÈTRENT LE MARCHÉ DES JEUX VIDÉO

    ADFBy ADFoctobre 8, 2014Updated:octobre 23, 20143 Mins Read
    Nigerian animator Ekene Nkenchor designs a video game at the Lagos offices of Kuluya, a video game company that is winning fans across the continent.
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    L’animateur nigérian Ekene Nkenchor conçoit un jeu vidéo dans les bureaux de Lagos de Kuluya, une société de jeux vidéo qui fait des adeptes sur tout le continent. [AGENCE FRANCE-PRESSE]

    AGENCE FRANCE-PRESSE

    Le Nigeria et toute l’Afrique doivent relever le même défi, à savoir se débarrasser de moustiques agaçants, potentiellement vecteurs du paludisme et d’autre maladies, dont le bourdonnement perturbe le sommeil.

    Deux start-up nigérianes se sont inspirées des bizarreries de la vie en Afrique pour créer des jeux vidéo en ligne et sur smartphones, qui font de plus en plus d’adeptes dans le monde entier.

    Mosquito Smasher (Tueur de moustiques), qui a été comparé à l’application mobile Angry Birds, est devenu immensément populaire, ce qui n’est pas surprenant. Le principe de ce jeu est simple : il s’agir d’écraser le maximum d’insectes suceurs de sang possible avec le pouce, ce qui est à chaque fois salué d’un gratifiant « splat ! ».

    Dans un autre jeu très populaire, Okada Ride, un conducteur de taxi-moto doit slalomer entre les vendeurs à la sauvette, les barrages et les policiers dans les embouteillages monstres de Lagos, l’immense métropole tentaculaire de près de 20 millions d’habitants. « J’aime cette touche de quotidien dans les jeux vidéo nigérians », a confié Chucks Olloh, 32 ans, grand adepte des jeux.

    L’industrie des jeux vidéo, qui représentait déjà plus de 63 milliards de dollars en 2012, devrait atteindre près de 87 milliards en 2017, selon une récente étude publiée par PriceWaterhouseCoopers.

    Bien que le marché africain ne figure pas parmi les priorités des développeurs de jeux, les fondateurs de Maliyo (les créateurs de Mosquito Smasher et d’Okada Ride) espèrent remédier à cette situation.

    Kuluya, une autre entreprise dont le nom signifie « action » dans la langue igbo du Sud du Nigeria, a déjà créé 70 jeux.

    Elle espérait atteindre le million d’utilisateurs sur téléphone portable d’ici à la fin juin 2014. L’éventail de ses adeptes dépasse les frontières du Nigeria. « En Afrique, nous avons beaucoup de téléchargements depuis le Ghana, le Kenya et l’Afrique du Sud », a expliqué Lakunle Ogungbamila, dirigeant de Kuluya.

    « Un de nos jeux a été beaucoup téléchargé en Éthiopie. Je ne sais pas trop pourquoi. Il s’appelle Ma Hauchi et met en scène un chasseur qui tire sur des vautours. C’est un jeu très simple. Nous avons aussi beaucoup de téléchargements depuis la Chine, l’Inde, la Thaïlande et Taiwan. »

    Après 10 ans passés au Royaume-Uni, où il a dirigé une société de recrutement, Hugh Obi, créateur de Mosquito Smasher, a décidé de rentrer chez lui, en 2012, pour lancer sa société de jeux vidéo en ligne. En vue de partager les coûts de fonctionnement élevés, dans une ville où les coupures de courant quotidiennes sont monnaie courante, il a dû investir dans des générateurs diesel. En outre, il partage, aux côtés de ses cinq employés, un espace de travail avec huit autres entreprises.

    Depuis un bureau à Yaba, situé dans la banlieue de Lagos, Maliyo offre 10 jeux gratuits en ligne à 20.000 utilisateurs au Nigeria, ainsi qu’en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Il se prépare à lancer des versions pour smartphones de ses jeux les plus populaires.

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