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    Home»Covid-19»L’Omicron toujours mortel se multiplie plus rapidement que les souches précédentes de Covid-19
    Covid-19

    L’Omicron toujours mortel se multiplie plus rapidement que les souches précédentes de Covid-19

    ADFBy ADFjanvier 26, 20225 Mins Read
    Des Kényans portent le masque pour empêcher la propagation du Covid-19 après la détection des premiers cas d’Omicron dans le pays en décembre 2021. AFP/GETTY IMAGES
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    PERSONNEL D’ADF

    La souche initiale de Covid-19 nécessitait entre deux jours et deux semaines pour produire des symptômes chez les gens infectés, mais Omicron agit beaucoup plus rapidement. Il est incubé en trois à cinq jours, selon des estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Ceci peut expliquer pourquoi Omicron est plus contagieux.

    Bien que la plupart des patients d’Omicron signalent des symptômes moins graves que ceux produits par les souches précédentes, la hausse des taux d’infection fait remplir les hôpitaux et affecte davantage les agents de santé débordés de travail. Le virus produit aussi de nouveaux symptômes, par exemple des sueurs nocturnes.

    Et il est toujours létal.

    L’expert éthiopien en santé publique Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui est directeur général de l’OMS, déclare : « Bien qu’Omicron semble être moins grave comparé à Delta… ceci ne veut pas dire qu’il devrait être classé comme léger. Tout comme les variants précédents, Omicron provoque des hospitalisations et des décès. »

    Des études précoces ont montré qu’il existait un risque réduit d’hospitalisation dû à Omicron, et il semblerait qu’il existe un risque réduit de maladie grave chez la plupart des gens, déclare Janet Diaz, chef de l’équipe OMS pour la gestion clinique. Mais elle ajoute que la plupart des cas étudiés concernent des personnes plus jeunes, ce qui rend largement inconnus les effets d’Omicron sur les personnes âgées.

    La période d’incubation plus courte complique aussi l’administration des tests de dépistage d’une façon fiable et rapide par les agents médicaux.

    En Afrique du Sud, Omicron a représenté plus de 90 % des nouvelles infections à la mi-décembre, selon le Dr Ryan Noach, président-directeur général de Discovery Health, le plus grand assureur santé d’Afrique du Sud.

    Le Dr Noach a déclaré dans un rapport sur le site web de Discovery Health : « La quatrième vague due à Omicron a une trajectoire de nouvelles infections avec une pente beaucoup plus raide comparé aux vagues précédentes. Les données nationales montrent une augmentation exponentielle des nouvelles infections et des taux de positivité des tests pendant les trois premières semaines de la vague, ce qui indique un variant hautement transmissible avec une propagation rapide de l’infection dans la communauté. »

    Des études montrent qu’Omicron a une probabilité moindre d’envahir les poumons des personnes comparé aux souches précédentes.

    Dans la province du Cap-Oriental d’Afrique du Sud, les hôpitaux publics ont signalé moins d’admissions liées au coronavirus et moins de décès liés à la pneumonie pendant la quatrième vague poussée par Omicron, comparé à la troisième vague due à la souche Delta, selon un rapport de News 24 (une publication de presse sud-africaine en ligne). Le département de la Santé du Cap-Oriental a aussi signalé une baisse de l’utilisation de l’oxygène médical pour traiter les patients d’Omicron.

    Toutefois, le risque de réinfection par la souche Omicron est plus élevé que pour les variants précédents, déclare Shirley Collie, actuaire en chef de l’analytique de santé chez Discovery Health.

    « Avec chaque vague successive d’infections de Covid-19 en Afrique du Sud, nous avons analysé la durée de l’immunité après une infection précédente de Covid-19, c’est-à-dire le risque de réinfection, dit-elle. Dans l’ensemble, le risque de réinfection (après une infection précédente) augmente avec le temps pour Omicron, ce qui conduit à des taux sensiblement plus élevés de réinfection comparé aux variant précédents. »

    L’immunité due à des infections précédentes peut expliquer pourquoi Omicron produit des symptômes plus légers, tels que la gorge irritée, la fatigue et les sueurs nocturnes, comparé aux souches précédentes, déclare le ministre de la Santé sud-africain Joe Phaahla dans un rapport sur Vox.com.

    À cause de la population relativement jeune d’Afrique du Sud, le Dr John Nkengasong, directeur des Centres africains pour le contrôle et la prévention des maladies, a averti les autres pays que leurs expériences avec Omicron pourraient être différentes.

    « Faisons attention de ne pas extrapoler ce que nous constatons en Afrique du Sud sur le continent ou dans le monde, dit-il dans un briefing des médias. Nous devons toujours recueillir davantage de données dans les pays qui sont plus affectés par le variant Omicron avant de pouvoir fournir une conclusion définitive. »

    Les périodes d’isolement recommandées pour les patients d’Omicron varient d’un pays à l’autre mais les experts mondiaux de la santé déclarent que les gens devraient continuer à observer les mesures de prévention du Covid-19 telles que le port du masque en public, la pratique de la distanciation physique et le lavage fréquent des mains.

    Bien que de nombreux patients d’Omicron n’aient pas de symptômes graves, ils pourraient toujours infecter des gens vulnérables à une maladie grave, déclare à Reuters Akiko Iwasaki, chercheur qui étudie l’immunologie virale à l’université Yale.

    « Nous n’avons pas encore de données sur la proportion d’infections par Omicron… qui provoquent le Covid long, dit-il. Les gens qui sous-estiment Omicron en l’appelant “léger” courent le risque d’une maladie débilitante qui peut durer pendant des mois ou des années. »

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