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    Home»rubriques»L’Afrique aujourd’hui»LE FESTIVAL YORUBA REND HOMMAGE À LA DÉESSE DE LA FERTILITÉ ET DE L’EAU
    L’Afrique aujourd’hui

    LE FESTIVAL YORUBA REND HOMMAGE À LA DÉESSE DE LA FERTILITÉ ET DE L’EAU

    ADFBy ADFmai 6, 2019Updated:mai 15, 20192 Mins Read
    Every year, thousands of Yorubas gather to celebrate Osun, the goddess of fertility and water. The festival held by the West African ethnic group takes place in the Osun-Osogbo Sacred Grove in southwestern Nigeria. According to UNESCO, which named the area a World Heritage site in 2005, the dense forest of the grove and its river “is dotted with sanctuaries and shrines, sculptures and artworks in honor of Osun and other deities.” Priestesses prepare offerings and sacrifices to the great goddess: a heady mixture of sacrificed chickens, ochre powder, potato chips and gin. Crowds accompany the Arugba, a virgin whose face is covered with a scarlet cloth embroidered with shells, to the river where the spirit of the water goddess lives. Belief in the Yoruba gods persists, unstifled by outside religious influences. “I’m Christian, Muslim and a traditionalist,” said Ayodele Folasade, an employee of the Osogbo museum. “I pray to Allah five times a day, I pray to the Lord Jesus Christ, but I also go to worship Osun by the river. “Yoruba people say that if your prayers don’t work with one God, try the other ones,” she said with a smile. “Pastors or imams say it’s not good to have many gods, but almost everybody turns to Osun when they need her.” Omitola Babaosha, a visitor to the festival, said he believed in the traditional gods but unlike others did not hide it. “I’m very proud of my heritage, and I don’t care what people say about me,” said Babaosha, wearing a large white tunic. “Whoever you believe in, whatever your religion, at the end of the day you need water to survive.”
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    AGENCE FRANCE-PRESSE

    Chaque année, des milliers de Yorubas se réunissent pour célébrer Osun, la déesse de la fertilité et de l’eau. Le festival organisé par ce groupe ethnique d’Afrique de l’Ouest a lieu dans la forêt sacrée Osun-Osogbo au Sud-Ouest du Nigeria.

    Selon l’UNESCO, qui désigna cette zone comme site du patrimoine mondial en 2005, la forêt dense des bosquets et du fleuve « est parsemée de sanctuaires et d’autels, de sculptures et d’œuvres d’art rendant hommage à Osun et à d’autres divinités ».

    Les prêtresses préparent des offrandes et des sacrifices à la grande déesse : un mélange capiteux de poulets sacrifiés, de poudre ocre, de chips et de gin. Des foules accompagnent Arugba, la jeune fille vierge dont le visage est couvert par un tissu écarlate brodé de coquilles, vers le fleuve où vit l’esprit de la déesse de l’eau.

    La croyance dans les dieux yorubas persiste, hors d’atteinte des influences religieuses extérieures.

    « Je suis chrétienne, musulmane et traditionaliste », déclare Ayodele Folasade, employée du musée d’Osogbo. « Je prie Allah cinq fois par jour, je prie le Seigneur Jésus-Christ, mais je vais aussi adorer Osun près du fleuve. »

    « Les Yorubas disent que si nos prières ne sont pas exaucées par un dieu, on peut essayer les autres, déclare-t-elle avec un sourire. Les pasteurs et les imams disent que ce n’est pas bon d’avoir beaucoup de dieux, mais presque tout le monde se tourne vers Osun lorsqu’ils ont besoin d’elle. »

    Omitola Babaosha, visiteur du festival, déclare qu’il croit dans les dieux traditionnels, mais contrairement aux autres il ne le cache pas. 

    « Je suis très fier de mon héritage et je me moque de ce que les gens disent de moi », déclare M. Babaosha, qui porte une grande tunique blanche. « Vous pouvez croire en qui que ce soit, vous pouvez avoir une religion quelconque, mais en fin de compte vous avez besoin d’eau pour survivre. »

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